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Le pouvoir des croyances et de l'information

Sur le pouvoir des croyances et de l'information

et sur la désinformation en temps de guerre

Dans notre société nous avons souvent l'habitude de considérer l'information comme un divertissement ou un sujet de conversation au même titre que la qualité d'un tableau (beau ou pas beau), d'une maison (grande ou petite, claire ou sombre...), de la météo (bonne ou mauvaise), de notre habillement (cette robe vous va très bien), etc.

On oublie ainsi que la question du vrai ou du faux possède une toute autre dimension. On oublie en effet que:

 
Le fait de
entraine une situation
qui conduit à la
1
Croire ce qui est vrai
très favorable
Vie
2
Ne pas croire ce qui est faux
favorable
Survie
3
Ne pas croire ce qui est vrai
défavorable
Maladie
4
Croire ce qui est faux
très défavorable
Mort

Essayez de considérez une situation qui se perpétue dans la durée et remarquez en effet que:

  1. Croire ce qui est vrai engendre une situation d'équilibre qui permet de bien profiter de la vie.
  2. Ne pas croire ce qui est faux permet d'éviter les pièges tendus par les erreurs des autres.
  3. Ne pas croire ce qui est vrai met en danger les autres en leur transmettant vos doutes injustifiés.
  4. Croire ce qui est faux engendre une situation de danger d'abord pour soi-même.

Selon la disposition qui domine de façon répétitive chez vous, vous aboutissez ainsi à:

  1. La vraie vie, grace à votre capacité à profiter d'informations vraies,
  2. La survie, grace à votre capacité à vous défaire d'informations fausses,
  3. La maladie, par votre incapacité à profiter d'informations vraies,
  4. La mort, par votre incapacité à vous défaire d'informations fausses.

Illustration !

 

Dans la vidéo ci-dessus, deux gnous au bord d'une rivière ont une discussion au sujet d'un objet dans l'eau: s'agit-il d'un crocodile ou d'un tronc d'arbre ? La vérité est qu'il s'agit d'un crocodile, ce que croit le gnou de gauche, mais seulement au départ:

  1. Il est au départ en sécurité en croyant ce qui est vrai (présence d'un crocodile)
  2. Il évite initialement le piège en ne croyant pas ce qui est faux (présence d'un tronc)
  3. Il se laisse convaincre par l'autre en ne croyant plus ce qui est vrai, ce qui le met en danger
  4. Il finit par mourir au moment où il se persuade de ce qui est faux en grimpant sur le crocodile.

Si maintenant vous ajoutez à ce pouvoir des croyances le fait que leurs conséquences dans votre futur sont instantanées (puisqu'il est déjà là) et pourraient même venir déterminer un passé indéterministe (auquel cas, nous aurions affaire à un tronc-crocodile similaire à un chat de Shroedinger à la fois mort et vivant), vous comprendrez à quel point il est archi-fondamental que vous appreniez à penser par vous-mêmes, s'agissant de ne pas céder votre libre arbitre à autrui et risquer de vous faire ainsi dévorer. Pour cela, il est vital que vous commençiez par cesser de faire confiance aux informations issues des médias (télé, radio, presse...) qui vous parviennent sans la moindre analyse de l'information contraire. Car même si vous n'avez pas (encore) l'impression de vous faire dévorer individuellement, soyez certain que vous êtes déjà en train de vous faire dévorer en tant que membre d'une masse.

Si vous ne pouvez pas vous empécher de regarder souvent la télé, apprenez donc à observer à quel point les journalistes et autres orateurs (politiques, etc.) passent leur temps à vous imposer certaines informations comme évidentes en prenant position sur le jugement qu'il convient d'avoir à leur sujet, souvent orientés par ce qu'on appelle la pensée unique. Remarquez également à quel point ils évitent de considérer la possibilité du contraire de ce qu'ils affirment. Ils agissent ainsi sans scepticisme, dans l'irrespect de l'importance vitale de toute information, faisant fi de la nécessité de respecter à son sujet un principe de précaution, vous faisant alors risquer à la longue de vous retrouver dans la position du gnou happé par le crocodile: le crocodile est ici l'entité qui vous conditionne pour happer votre vote, votre silence, votre respect des règles et institutions, etc., jusqu'à votre adhésion à certaines guerres. Le conditionnement que vous recevez se caractérise ainsi souvent par votre capacité à diaboliser le contraire de ce que l'on vous a appris à penser, la pensée diabolisante étant un stade antérieur à la pensée unique. Point n'est en effet besoin de diaboliser le contraire de ce qui apparaît clairement comme la vérité, il suffit de dévoiler tranquillement l'évidence de votre pensée. Votre conditionnement est donc souvent à rechercher dans ce dont vous avez horreur que l'on pense.

Les journalistes et les politiques sont évidemment entrainés dans la tache qui consiste à programmer ainsi de force votre pensée par le fait qu'ils sont eux-mêmes ainsi programmés et que la mise en doute des informations qu'ils transmettent pourrait les conduire à un rappel à l'ordre ou à mettre leur carrière en danger, y compris et en première ligne les présidents de nos démocraties à marionnettes. Personnellement je sais que je vis en réalité dans une dictature (du pouvoir qui dirige banques, médias et pensée unique: voir absolument cette video jusqu'au bout) mais cela ne me dérange pas, car le fait de le savoir me suffit. Je m'y adapte d'autant mieux que j'ai cette connaissance, sans avoir l'intention de dénoncer la croyance de ceux qui pensent vivre dans une démocratie: ils doivent découvrir la vérité par eux-mêmes. Donc, ne croyez surtout pas ce que je viens de dire, et pour vous aider j'affirme que je viens de vous dire des aneries.

Tenez, supposez que vous jouiez le rôle de celui qui est convaincu de vivre en démocratie, et moi le contraire (en dictature) et faisons les gnous, vous celui de droite et moi celui de gauche (le plus mauvais rôle):

  • Vous: Démocratie
  • Moi: Dictature
  • Vous: Démocratie
  • Moi: Dictature
  • Vous: Démocratie

Et là, vous commencez à me convaincre que c'est vous qui avez peut-être raison, alors je monte sur le bateau de la soi-disant démocratie pour la mettre au défi de m'avancer les arguments qui prouvent qu'elle en est bien une. Le problème est que j'ai déjà crié sur tous les toits que nous étions dans une dictature et qu'en plus je la défie pour qu'elle se démasque, alors cela ne lui plait pas du tout et elle me fait passer pour un fou: je suis ainsi dévoré par la croco-dictature. Mais attention, ça marche dans les deux sens, car si nous étions vraiment en démocratie et que je prenais à mon tour le rôle du gnou de gauche, si je parviens à vous convaincre que nous sommes en dictature c'est alors vous que l'on fait passer pour un fou et qui servez de repas à la croco-démocratie.

Comprenez que gnou de gauche ou gnou de droite, c'est kif-kif bourricot, nous sommes tous des bourriques ou des gnous dans un système de conditionnement de la pensée dont nous avons accepté qu'il nous consomme en échange de notre tranquillité. Car croyez bien que dès que vous lachez une once de pouvoir sans trop savoir à qui vous le déléguez, ce sont nécessairement les plus malins qui s'en emparent et non pas les plus dignes de le recevoir. Mais qui sont donc les plus malins ? Voila une question à se poser après avoir visionné les vidéos qui suivent afin de connaître au préalable tous les sons de cloche.

Remarquez que je dévie un peu de la ligne éditoriale de mon site web, si je puis dire, mais ce n'est pas sans lien avec elle: les conditionnements que je dénonce d'habitude ne sont en effet pas de nature politique et sociale mais scientifique, s'agissant du déterminisme et du darwinisme. Lorsque je vois quelqu'un fonctionner dans ces deux conditionnements qui se renforcent l'un et l'autre, sans envisager le contraire (l'indéterminisme et la finalité), je ne diabolise pas sa pensée, ce qui serait inefficace car elle est déjà unique et verrouillée. J'essaie simplement de fissurer son dogme afin de l'amener à douter pour qu'il cesse de jouer le rôle du gnou de droite qui envoie ses congénères à l'abattoir. Comme j'y parviens aisément mais non sans fatigue, je me ressource en me disant que la mission dont je me suis investi est décidément sacrément utile, car je viens encore de réussir à chasser du rivage un gnou qui dit n'importe quoi.

Internet n'échappe évidemment pas à la désinformation ou aux fausses croyances, mais l'avantage d'Internet est que l'on y trouve tout et son contraire. Cela permet ainsi de s'éloigner du rivage c'est à dire de douter, en procédant à des vérifications, des comparaisons, des recoupements, de les compléter par des informations issues d'autres sources et de finalement trouver les maillons qui, en s'harmonisant, finissent par former un chemin qui conduit à la vérité. Cette recherche de vérité est à mon avis la chose la plus importante qui soit à faire à l'heure actuelle sur notre planète. Par exemple, n'avez vous pas remarqué qu'une 3ème guerre mondiale a commencé depuis au moins 11 ans (voir cette video) et que nous sommes entrés dans la bataille de l'europe depuis 3 ans ? Fragiliser l'europe ne serait-il pas un bon moyen de la mettre sous tutelle tout en l'empéchant de s'opposer à une main-mise déguisée sur toutes les ressources du proche-orient (voir cette video) ? Diable, comment croire une chose pareille ? Je n'y crois pas, je ne fais qu'en envisager la probabilité, à vous de chercher la vérité. Quoi qu'il en soit, quelle est la chose qui a le plus de valeur, surtout en temps de guerre ?

Retenez donc que je vous suggère une valeur bien plus importante que l'or ou l'argent (métal ou papier): il s'agit de l'information et par extension de la connaissance. Mais est-ce une bonne information ?

Voici maintenant quelques exercices de vacances: je vous propose de confronter les informations contenues dans les vidéos suivantes (liens directs ci-dessus) avec celles que vous proposent les grands médias, pour vous faire ensuite votre propre opinion. Et ne copiez surtout pas la mienne ! Ah, au fait, quelle est la mienne ? Heu... je ne me rappelle plus... Ah si: tout et son contraire.